Fan-en-France

 La côte de granit rose est une longue bande côtière de la Manche située au nord de la Bretagne. Sur une dizaine de kilomètres, de Trébeurden à l’ouest à Perros-Guirec à l’est, la côte est parsemée de  blocs de granit , de tailles et de formes différentes, sculptés par la mer et le vent depuis des millions d’années .

PERROS-GUIREC 

C’est le chef-lieu du département des Côtes-d'Armor, c'est une station balnéaire dotée de plusieurs belles plages et de superbes villas côtières.

Depuis peu , un tout nouvel hôtel de balnéothérapie a ouvert avec de magnifiques installations. 

De là plage de Trestraou,  une randonnée facile mène à Ploumanac’h .

C’est la plus belle partie de la côte de granit rose. 

On croise le phare de Men Ruz .

On arrive à Ploumanac'h ,  élu en 2015 Village Préféré des Français . Nombreux bars et restaurants pour récupérer. 

LANNION 

Lannion est la capitale du Trégor (ancienne division administrative et religieuse bretonne), c'est une ville qui possède un superbe centre historique aux allures médiévales .

 TRÉGUIER 

 Ville épiscopale depuis sa création en 535 par Saint-Tugdual, c’est une étape du Tro Breiz ainsi que la ville natale de Saint-Yves. Elle se développe grâce à son activité portuaire marquée par le commerce du lin . Elle possède des maisons à pans de bois  et des vestiges du passé moyenâgeux.

 La cathedrale Saint-Tugdual à été edifiée au 12 ème siècle en style gothique. 

Les deux saints qui y sont vénérés : saint Yves et saint Tugdual

 Le lieu le plus vénéré est le tombeau de saint Yves 

Ce magnifique hôtel particulier du XIXe siècle a été construit par Edouard André, collectionneur du XIXe siècle, et son épouse Nélie Jacquemart, portraitiste de renom .

Resté en état après le décès des propriétaires,  il donne une excellente idée du luxe et de l'atmosphère d'une grande demeure du Second  Empire : salons d'apparat, escalier monumental, jardin d'hiver, appartements privés...Ses collections d'œuvres d'art sont  dignes des plus grands musées.  Les propriétaires ont parcouru l'Europe et l'Orient pour acquérir les œuvres d'art et les mobiliers les plus rares.

Au rez-de-chaussée,  on trouve  des œuvres des écoles flamande et allemande, des fresques détachées, des meubles raffinés et des tapisseries .

 Le premier étage est  réservé à l’art italien de Renaissance, florentine et vénitienne .

Un salon de thé raffiné attend le visiteur fatigué pour un moment magique. 

 Construite en 1932 pour l’industriel Paul Cavrois et sa famille, le bâtiment, chef-d’œuvre de l’architecte moderniste Robert Mallet-Stevens, a connu bien des vicissitudes. Occupée par la famille jusqu’en 1985 (hormis la parenthèse de la Seconde Guerre mondiale où elle fut réquisitionnée par les Allemands), la villa, passée en 1988 entre les mains d’un promoteur peu scrupuleux, avait subi d’affligeantes dégradations malgré la mesure de classement de 1990, censée la protéger. Suite au décès de Madame Cavrois en 1986, l’ensemble du mobilier avait été dispersé .

Il a fallu son rachat par l’État en 2001, près de quinze ans et 23 millions d’euros de travaux pour la restaurer fidèlement à  l’original. Tout le décor a été recomposé à l’identique et certaines pièces du mobilier original ont pu être rachetées .

Volumes cubiques, larges baies laissant passer la lumière, toit terrasse, acier, verre, structure béton… la Villa Cavrois est fidèle aux principes modernistes que Mallet-Stevens. L’architecte parvient à marier les matériaux industriels comme le verre et le métal, avec les matériaux nobles (marbre de Suède, marbre de Sienne, noyer, poirier et bois exotiques) .

Le salon

La salle à manger des parents et celle des enfants

La chambre d'un fils

La suite parentale

 La terrasse

L’architecte s’attache aussi à intégrer les dernières technologies : ventilation, TSF, téléphone, ascenseur, équipement de la cuisine et de la buanderie.

 Dans le parc , un plan d'eau "miroir"

Le mot de l'architecte

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 LA PISCINE 

  Cette piscine reconvertie en musée est un joyau de l’Art déco. A son origine en 1932, elle permettait d'offrir un lieu d'hygiène à des ouvriers vivant alors dans des conditions parfois difficiles .

Albert Baert, son architecture lillois, reprend le plan des abbayes cisterciennes avec un grand jardin claustral .

 Les cabines de douche ont été aménagées en vitrines .

Céramiques de Picasso

Textiles

Vitraux

Reconstitution de la place de Roubaix 

La reconstitution de l’atelier du sculpteur Henri Bouchard. 

LA  MANUFACTURE 

 Installée sur le site de l'ancien tissage Craye, spécialisé depuis 1900 dans le tissu d'ameublement, la Manufacture est un musée dédié à la mémoire de l'industrie textile de Roubaix et des environs.

On peut y voir un grand nombre de machines à tisser .

Quelques belles pièces 

Une rubaniere de Saint -Étienne  

Émouvant,  est-ce ce la machine sur laquelle travaillait ma grand - mère ?

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-C’est le plus important musée de la mine en France. Créé en 1982, le Centre Historique Minier est installé sur le carreau de l’ancienne fosse Delloye. 8 000m2 carré de bâtiments encore dans leur jus. La visite habituelle s’opère comme une véritable immersion dans le quotidien  des mineurs.

Apres avoir suspendu leur vélo, les mineurs entraient d’abord dans la « salle des pendus », un vaste vestiaire entouré de douches sommaires et au plafond duquel sont pendus les habits et casques de travail. 

On traverse  la cour centrale .

 La visite commence par l'atelier des machines .

Une passerelle enjambe les lignes de chemin de fer jusqu’au puits de la fosse.

Là, commence la visite des galeries reconstituées, .

De puissants chevaux de trait vivaient en permanence au fond pendant une dizaine d'années,  tirant des trains d'une douzaine de wagonnets de 600 kgs chacun .

 Le minerai était trié sur des chaînes et le charbon partait directement de l'usine en train .

Après le travail,  la vie du mineur se partageait entre sa maison et l'examiner du coin .

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Installé depuis 2012 et inauguré le 4 décembre, le jour de la Sainte-Barbe, la fête des mineurs, le Louvre-Lens est implanté sur un ancien site minier .

Avec une moyenne de 500 000 visiteurs par an, le Louvre-Lens est aujourd’hui le 2ème musée le plus fréquenté en région après le musée des Confluences à Lyon.

Le Louvre-Lens accueille les collections du musée du Louvre Paris , présentées dans la Galerie du temps . Pas de cloisonnement chronologique ou thématique, on y embrasse d’un seul regard 5000 ans d’histoire de l’art et de l’humanité ! 200 œuvres issues des collections du musée du Louvre sont exposées . Chaque année, environ 10% des œuvres sont renouvelées.

Période égyptienne 

Mesopotamie

Antiquités greco-latines

Perse

Plus près de nous

L'accès à la collection permanente est gratuit. 

Si on arrive à Lens en train , il faut admirer la gare en forme de locomotive ! On peut rejoindre à pied le musée par une agréable promenade. 

Tout près du musée,  le fameux stade Bollaerd , qui peut aussi se visiter. 

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 Arras est la patrie de Vidocq et de Robespierre,  dont on peut voir la maison d'enfance .

 C'est à Arras qu'on on peut flâner sur les deux places les plus célèbres des Hauts-de France : la Grand Place et la Place des Héros. : on y admire 155 façades baroques toutes différentes.

La Grand Place

Magnifiquement entourée  de maisons superbes , c'est malheureusement un parking en dehors des jours de marché ! Ce qui gâche un peu la perspective. ..

La Place des Héros

Piétonne,  elle est cernée de commerces multiples sous ses arcades et aux beaux jours couverte de terrasses .

C'est là que je déguste mon premier welsh , avec des frites à la graisse de boeuf ! 

Au fond , le magnifique hôtel de ville et son beffroi .

 Le beffroi

Le beffroi d’Arras est une tour de style gothique flamboyant de 75 mètres... Sa construction s'etend de 1463 à 1554 . Il est surmonté  d'une couronne en hommage à l'empereur Charles Quint , sur laquelle se dresse un lion.   En 1914, le beffroi offrant une vue imprenable sur la ligne de front est pris pour cible par l'artillerie allemande. Il s'écroule le 21 octobre, sous le coup du 69e obus.  Reconstruit après La guerre , sa montée se fait par un ascenseur suivi de 43 marches et on domine tout Arras .

 L'hôtel de Ville 

 Dès 1502, sans attendre l'achèvement du beffroi, les échevins entreprennent la construction de l'Hôtel de Ville, dans le plus pur style gothique flamboyant, dans lequel étaient réunies la halle marchande et la halle échevinale .Dans l'entrée,  sont entreposés les géants

Abbaye saint Vaast et la Cathédrale 

  La legende : Vaast , après avoir enseigné la religion au roi Clovis se rendit à Arras . Les habitants de la ville vinrent demander son aide, car un ours s'en prenait aux gens et au bétail. Il ordonna au nom de Dieu à l'animal de quitter les lieux. L'ours lui obéit, et on ne le revit plus jamais. ! 

Musée des Beaux-Arts 

 Il est constitué en 1795 à partir des saisies révolutionnaires et situé dans l'ancienne abbaye Saint-Vaast .

 VISITES SOUTERRAINES 

Le sous- sol d'Arras est un vrai gruyère ! L'occasion de deux visites passionnantes .

Les Boves

Les boves d’Arras sont des carrières creusées dès le 9e siècle pour extraire la craie des premières constructions.  Dès le 12e siècle, les boves deviennent des caves de stockage pour les marchands. C'est un réseau de galeries géant .Une vingtaine de kilomètres s’étalent sous la ville à 12 mètres de profondeur.

La Carrière Wellington 

 En octobre 1914, le front de la guerre se stabilisa en Artois et la ville fut ravagée par les tirs de l'artillerie allemande.

À partir de 1916, les troupes françaises sont remplacées par l’armée britannique. Le general Nivelle , commandant l'armée française, obtient du marechal Haig , commandant l'armée britannique que ses troupes lancent une offensive de diversion à partir d'Arras tandis que l'armée française attaquerait les Allemands au Chemin des Dames dans l’Aisne.

L’armée britannique fait aménager par les soldats du génie Néo-Zélandais les anciennes carrières de craie de la ville,  Deux vastes réseaux souterrains sont organisés. Sous le quartier Saint-Sauveur, les Écossais et les Anglais donnent aux carrières les noms de Glasgow, Manchester Liverpool. Sous le quartier Ronville, les Neo -Zelandais les nomment Wellington, Auckland ou Nelson.

Le 9 avril 1917, à 5 h 30, après une énorme explosion, 24 000 hommes surgissent de dessous terre et surprennent les premières lignes allemandes. Au même moment, les Canadiens se lancent à l’assaut de la crête de Vimy.

• Si vous n'avez pas le temps de visiter les deux sites , choisir la Carrière Wellington , visite plus longue , mais plus complète avec de belles mises en scènes et documents d'époque. 

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 L'association de cheminots " Le train historique de Toulouse " a pour but la préservation de la locomotive à vapeur 141 R 1126 et autres locomotives et wagons historiques.La 141 R 1126 fait partie d’un lot de 1340 machines construites en Amérique du Nord à la fin de la seconde guerre mondiale

Une fois par mois,  cette association organise une sortie touristique en train ancien. A l'occasion des 120 ans du Viaduc de Viaur , c'est vers cette destination que s'élance notre train et ses 415 passagers . Départ à 8 h de la gare de Toulouse-Matabiau . A bord règne une super ambiance !

Les gares défilent. ...

Ainsi que des beaux paysages à l'approche de l'Aveyron , au milieu des panaches de fumée !

Long arrêt à la gare de Carmaux : pendant que la locomotive refait le plein d'eau , une fanfare et un apéro sous un chêne multicentenaire nous attendent .

Un bus nous emmène au Viaduc de Viaur . Entre Aveyron et Tarn, au coeur du Ségala, le Viaduc du Viaur et ses 3800 tonnes d'acier semble posé sur les flancs de la vallée du Viaur.

C'est une remarquable réalisation métallique de l'ingénieur Paul Bodin : des poutres d'acier, des arches, un million de rivets… Cette dentelle aérienne s'élève à 116m de haut sur 460m de long, avec un arc central de 220 m d'envergure.

 Un bon " alligot - saucisse " nous réconforte. 

 Avant le retour,  une petite visite à la foire du Sera la pour admirer les belles Aubrac .

  Merci à cette belle équipe de bénévoles ! Si vous passez par Toulouse , consultez le programme sur leur site. 

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 Béziers aurait été construite avant Marseille, au VIIe siècle avant J.C, et serait la plus vieille ville de France.

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Pézenas est une petite commune de l'Hérault au riche passé historique. . Au XVe siècle, elle est surnommée le Versailles du Languedoc". Les Etats Généraux du Languedoc y tiennent leur séances, puis les gouverneurs s'y installent. Molière lui-même sera admis à jouer pour le Prince de Conti.

 De beaux hôtels témoignent de ce glorieux passé,  comme l'Ancienne Commanderie de Saint Jean de Jérusalem. 

 La place centrale est animée. 

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 En franchissant la grille ornée des aigles impériales, on découvre la cour d’Honneur . Elle est bordée au Nord par l’aile des Ministres qui date de la Renaissance, reconnaissable au F de François Ier, et au Sud par l’aile Louis XV, élevée au XVIIIe siècle. Au fond se dresse un corps de bâtiment édifié au XVIe siècle auquel on accède par le monumental escalier en Fer-à-cheval bâti sous le règne de Louis XIII. C’est là qu’en 1814, Napoléon Ier fit ses fameux Adieux à la Garde.

Cette aile abrite la chapelle de la Trinité. Sous la voûte décorée par Martin Fréminet, peintre d’Henri IV, plusieurs noces royales furent célébrées, comme celles de Louis XV et Marie Leczynska en 1725. C’est dans cette même chapelle que le futur Napoléon III fut baptisé dans les bras de son oncle en 1810.

À la veille de son sacre en 1804, Napoléon Bonaparte décide de faire du château de Fontainebleau l’une de ses résidences.

L’ancienne chambre du Roi devient la salle du Trône .

Dans les Petits Appartements du rez-de-chaussée se dévoile la vie privée de l’Empereur et de ses deux épouses successives.

La chambre de l’Impératrice, occupée par toutes les souveraines de Marie de Médicis à l’Impératrice Eugénie. Le merveilleux lit surmonté d’un « amour » qui pose un doigt sur ses lèvres était destiné à Marie-Antoinette, mais c’est Joséphine, l’épouse de Napoléon Ier, qui l’occupera.

L’administration de l’Empire occupe sans cesse Napoléon Ier, au point qu’il fait installer un lit dans son bureau.

C’est dans le salon voisin qu’il signera son abdication en avril 1814 .

Aujourd’hui, le château de Fontainebleau abrite un musée consacré à Napoléon Ier. On y retrouve le célèbre bicorne de l’Empereur, son mobilier de campagne ou encore le berceau du Roi de Rome.

 Les portraits représentent les membres de sa famille, dignitaires et officiers de l’Empire.

Pour relier la chapelle à ses appartements, François Ier fit construire une spectaculaire galerie où les lambris, les stucs et les fresques forment un décor qui créa le style « École de Fontainebleau ».

La salle de Bal, lieu de fêtes d’Henri II et de Catherine de Médicis. On y donnait des mascarades , où les invités portaient d'extravagants costumes .

 L’immense galerie de Diane, transformée en bibliothèque sous Napoléon III

 Napoléon Ier qualifiera Fontainebleau dans ses mémoires de « vraie demeure des rois ».

 Un très beau parc entouré le château 

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 La Samaritaine est fondée en 1869 par Ernest Cognacq  et son épouse Marie-Louise Jaÿ .Parti d’un petit commerce, le magasin prospère. Le couple Cognacq-Jay ouvre en 1900 les Grands Magasins de la Samaritaine. Chaque rayon est géré par un véritable petit patron autonome. Au fil de ses agrandissements, la Samaritaine compte en tout quatre bâtiments numérotés de 1 à 4. C’est alors le plus vaste des grands magasins parisiens.

Une restructuration complète

Dans les années 1990, le succès du magasin n’est plus au rendez-vous et la  Samaritaine est rachetée en 2001 par le groupe LVMH.

Fermé en 2005 , le site fait l’objet d’un projet de reconversion. 

Le nouvel ensemble comprend aujourd’hui : un hôtel Le Cheval Blanc , des bureaux ,des logements sociaux, une crèche et le grand magasin Samaritaine Pont Neuf .

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 Havre est la première ville de Normandie .

En juillet 2005, l’UNESCO a inscrit sur la liste du Patrimoine Mondial le centre du Havre reconstruit par Auguste Perret. 

 LE VOLCAN 

Espace culturel havrais , cette oeuvre est signée de l’architecte brésilien Oscar Niemeyer. 

 L'ILOT V40

 Le béton est le matériau-roi , les bâtiments sont disposés autour d'une cour , les appartements pourvus de grands balcons sont baignés de lumière : une architecture révolutionnaire pour l'époque,  qui se reproduit dans tout le centre du Havre .

  L'APPARTEMENT TÉMOIN PERRET

Le mobilier choisi fait référence aux aménagements des appartements-types présentés pendant la reconstruction (entre 1945 et 1955). Il donne sur un beau balcon filant . Les chambres disposées autour de la pièce de vie peuvent ouvrir ou fermer pour créer un appartement modulable adapté à la personnalité des locataires . 

 L'EGLISE SAINT - JOSEPH

 Construite par Auguste Perret, achevée après sa mort par des architectes de son atelier , elle est connue pour sa tour lanterne octogonale de 110 mètres de haut . Les bancs font un cercle autour de l'autel et les vitraux coloriés apportent beaucoup de chaleur au milieu du béton. 

L'AVENUE FOCH

 Elle débute à l'hôtel de ville .

C'est les « Champs Elysées » de la ville. Elle est bordée de grands parterres de pelouses . Elle est parcourue par la ligne du tramway

 LES DOCKS VAUBAN 

Cconstruits entre 1846 et 1884 , ils étaient utilisés pour entreposer les marchandises en transit comme le coton , le café et les epices . Les bâtiments ont été réhabilités et transformés en une galerie commerciale 

Tout près,  un bâtiment " le vaisseau urbain " , qui abrite l'école nationale supérieure maritime .

MUSÉE D'ART MODERNE ou MUMA

À l'entrée du port du Havre , se trouve le musée d'art moderne André Malraux. 

Il possède l’une des collections impressionnistes les plus importantes après le musée d’Orsay à Paris. En autres , des œuvres de Renoir, Monet, Pissarro, Sisley, Degas, Boudin…

LES JARDINS SUSPENDUS

 De ce site , d’une surface de 17 ha, dans une forteresse Vauban , on a un point de vue formidable sur la baie de Seine et le port. Des serres et des jardins thématiques. 

LE BORD DE MER 

La Porte Océane sépare symboliquement  la ville de la Mer. 

  L'immense plage est bordée tantôt de maisons traditionnelles tantôt de sculptures ultra modernes. 

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Petite ville portuaire sur la rive sud de l’estuaire de la Seine, elle est très touristique.  Heureusement,  en janvier , il n'y avait pas grand monde . Le vieux centre historique est charmant. 

Le Vieux Bassin

Le Vieux Bassin se trouve au coeur du centre historique. On y profite d'un superbe panorama sur le port, les bateaux ainsi que les maisons typiques avec de l’ardoise.  Les bâtisses du Vieux Bassin remontent parfois à la création du port par Colbert à la fin du XVIIème siècle. 

L’église Sainte-Catherine 

 Sa construction remonte au XVème siècle. Elle a été  construite sur le modèle de halles de marché. Très rare en France, cette église de Honfleur a été construite en bois.  Autre particularité, son clocher a été construit séparément, juste en face de l’entrée principale.

Musée Eugène Boudin

 On y trouve une belle collection de tableaux pré-impressionnistes et contemporains ,oeuvres de peintres originaires de Honfleur ou qui y ont séjourné. Une centaine d’œuvre d’Eugène Boudin y sont exposées .Le musée était fermé à notre passage . Mais une salle du Muma du Havre est consacrée à Eugène Boudin,  donc on a pu faire connaissance avec ce peintre .

 Depuis le 19ème siècle, la Croix-Rousse est « la colline qui travaille » C'est le quartier de la soierie lyonnaise, 30 000 canuts y travaillaient . C'est un quartier qui a encore un côté village et populaire.  On peut y voir des immeubles conçus spécialement pour abriter les métiers à tisser, entre traboules et escaliers. Beaucoup de rues en pente !

LE GROS CAILLOU 

  Ce bloc a été transporté par des glaciers venus des Alpes,.Il y a près de 140 000 ans. 

AMPHITHEATRE DES 3 GAULES

Cet amphithéâtre date de -12 avant J.C. Il était dédié au culte de Rome et de l'empereur Auguste .Il servait aussi bien pour des combats de gladiateurs que pour des rassemblement festifs

LES TRABOULES

Les traboules sont des passages secrets typiques de Lyon qui permettent de rejoindre des rues parallèles via ces passages à travers les immeubles. 

Dans la partie inférieure de la fresque actuelle,  on retrouve l'atelier Mattelon 

D'autres fresques intéressantes : 

UN RESTAURANT TYPIQUE !

Décor d'un autre âge,  patron haut en couleurs, clientele d'habitues , plats lyonnais bons et copieux : un restaurant authentique à ne pas manquer !

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GERTWILLER

 Gertwiller est la capitale du pain d'épices. .

Un village haut en couleurs 

L'occasion de visiter une cave typique et d'admirer un beau plant de houblon.

Un bel art de vivre !

MITTLEBERGHEIM

ANDLAU

 La légende de Sainte Richarde

 Sainte Richarde , éouse de Charles le Gros,  voulait élever un monument à la mémoire de son père mort .. Une vision lui indiqua qu’elle devait se rendre dans le val d’Eleon (Andlau) et construire un monastère à l’endroit où une ourse gratterait le sol. Elle suivit cette inspiration et, non loin de l’église du Saint-Sauveur , elle rencontra l’ourse de sa vision. C’est là que, vers 880, elle fit édifier le premier monastère d’Andlau. 

Andlau conserve de très anciennes demeures 

SCHERWILLER

  Scherwiller avec 370 hectares de vignoble, se place dans le trio de tête des communes les plus importantes du département du Bas-Rhin en matière de superficie viticole. Le village est traversé par l’Aubach, rivière jalonnée d’une centaine de lavoirs. .Le long de l’Aubach, ssuccèdent des maisons typiques à colombages, datées des XVIe, XVIIe, XVIII et XIXe siècles. 

Un sentier viticole mène au pied du château de l’Ortenbourg, construit au 13 e siècle. 

C'est aussi la région des prunes , mirabelles et quetches 

 Un très joli village,  pas touristique, où s'écoule une vie tranquille et authentique .Il fait bon y flâner. 

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ROSHEIM

 Petite ville, très peu touristique, Rosheim possède 4 portes, vestiges des remparts..

Elle possède une très belle église romane Saint Pierre et Saint Paul .

LA LÉGENDE DE SAINTE ODILE PATRONNE DE L’ALSACE :

Odile, fille d’Etichon duc d’Alsace, née aveugle et rejetée par son père, fut cachée dans un monastère de Bourgogne et recouvra la vue le jour de son baptême. Son frère Hugues la ramena, mais quand Etichon voulut la marier à un jeune prince , elle s'echappa . Etichon céda et fonda sur la montagne le couvent de Hohenbourg dont Odile sera la première abbesse et elle y est enterrée. 

 LE COUVENT DU MONT SAINTE-ODILE

C'est un haut lieu de pèlerinage dédié à Sainte Odile, patronne des Alsaciens . La terrasse panoramique offre une vue époustouflante sur la region . 

Beaucoup de touristes aussi ! D'autant plus que c'est l'année du Jubilé 

 Cette enceinte d’une longueur totale de onze kilomètres fait le tour du plateau du mont Sainte-Odile.

Formé d’environ 300 000 blocs , il fait entre 1,60 m et 1,80 m de large et peut atteindre trois mètres de hauteur. Ses origines sont controversées .Le suivre est l'occasion d'une agréable promenade en forêt. 

 OBERNAI 

 Obernai est une cité fortifiée entourée de ses anciens remparts. Ses maisons à colombages attirent de très nombreux touristes .. Son beffroi, haut de 60 m , est unique en Alsace.

Il faut lever la tête. 

 La place du Marché , avec en son centre  la fontaine Sainte-Odile est un endroit charmant .

L'endroit idéal pour déguster un picon bière ! 

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NOTRE DAME DE LA GARDE

  La Basilique  Notre Dame de la Garde , vieille de 800 , a 157 mètres de haut .

La montée est rude, mais de la plateforme qui l'entoure,  on a une vue à 360 degrés sur la ville . 

Le 25 août 1944 ,lors de la bataille de libération de Marseille , le char Jeanne d'Arc est  sévèrement touché et trois de ses cinq occupants sont tués sur le coup. Il a été restauré et inauguré comme monument commémoratif le 25 août 1946.

ĹE VIEUX PORT

  C'est le coeur de Marseille,  entouré de nombreux restaurants,  Haut lieu touristique,  il s'y tient chaque matin un marché aux poissons artisanal .

On y voit aussi quelques lieux emblématiques,  comme l'ancienne criée aux poissons ( devenue théâtre ) et le fameux ferry boat des films de Pagnol , vieux de 130 ans  

 On y trouve des productions traditionnelles comme les navettes ( biscuits à la fleur d'oranger ) et le fameux savon

A l'entrée du port,  le célèbre MUCEM , Musée des civilisations de l’Europe et de la Méditerranée, situé à l’entrée du port, sur le môle portuaire du J4 et dans le fort Saint-Jean .

ĹE PANIER 

Le quartier du Panier est le plus ancien et le plus typique de la ville. Un village provencal â l'intérieur de Marseille ! C’est aussi l’un des plus touristiques, suite au succès de la série « Plus belle la vie »

Beaucoup de boutiques d'artistes et artisans et du street art

Un quartier où je suis abondamment célébrée !

LA CORNICHE

 La corniche Kennedy est un boulevard de bord de mer de Marseille , qui longe la mer Méditerranée sur environ 3,7 km, Sur une part, une belle piste cyclable qui me permettra un baptême de trottinette électrique.

On y croise le maregraphe 

Le marégraphe a été construit en 1883-84 pour déterminer l’origine des altitudes en France continentale (l’altitude 0). Ce repère est un rivet en bronze recouvert d’un alliage de platine et d’iridium.

Le vallon des Auffes est un petit port de pêche pittoresque traditionnel, incrusté au coeur de Marseille : l'endroit le plus charmant de la corniche. 

 LA JOLIETTE

Le port de la Joliette , tout près du centre-ville ,  accueille ferries et  navires de croisière ..

 Les "Terrasses du Port” est un grand centre commercial de 190 boutiques avec un très grand toit-terrasse . On y trouve même un boulodrome !  Un club s’y est aussi installé, le R2 rooftop, qui accueille des djs internationaux .

Face aux Terrasses, “les Docks Village” est un bâtiment de 365 mètres de long, composé de cinq corps de bâtiment de pierres et de briques séparés par quatre atriums ., regroupant  boutiques, galeries d’art et restaurants . Un endroit chic !

 L'ESTAQUE

  Petit village de pêcheurs,  au nord de Marseille , à environ 10 kms du Vieux Port , il fait maintenant partie du 16 ème arrondissement. Il a gardé son ambiance " village "

L’Estaque a inspiré de nombreux peintres : Cézanne y a fait  plusieurs séjours et on peut voir sa maison sur la place  l’Eglise Saint-Pierre.

La spécialité locale est les panisses ( beignets de pois chiches ) . 

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Prononcez " Cassi" !

 « Qui a vu Paris et pas Cassis, n’a rien vu ». 

Frédéric Mistral , célèbre poète provençal 

Cassis est une commune très touristique située à environ 20km à l'Est de Marseille. Elle est bordée d'un côté par le massif des Calanques et de l'autre par le Cap Canaille. Elle est dominée par un château,  reconverti hôtel de luxe . Ses vignobles produisent le fameux vin blanc de Cassis qui fut en 1936 une des première AOC reconnue. 

Beaucoup de monde sur le port , bordé de nombreux cafés et restaurants. 

Mais l'intérieur conserve son charme provençal. 

Un peu en dehors de la ville , en direction des calanques,  la plage de galets de Bestouan , offre une vue imprenable sur les falaise du Cap Canaille .

Le soir , il fait bon de flâner sur le port. 

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